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1. مفهوم، مبانی و چارچوبهای حقوق ملت و آزادیهای مشروع در نظام جمهوری اسلامی ایران و مقایسه آن با سایر نظامهای حقوقی
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2. سازکارها و الزامات تأمین و تضمین حقوق ملت و آزادیهای مشروع
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3. دستاوردهای نظام جمهوری اسلامی ایران در زمینه حقوق ملت و آزادیهای مشروع
Dans la deuxième partie de cette conférence de presse, les journalistes internationaux présents à la salle ont posé leurs questions. En réponse à la question du média chinois Xinhua concernant les raisons pour lesquelles la proposition du Guide suprême de la Révolution islamique au sujet de la tenue d’un référendum sur la Palestine n’a pas été suivie, le Dr Es’haqi a déclaré : « Autant que je sache, le ministère des Affaires étrangères, dans toutes les notes qu’il publie au sujet de la Palestine et de Gaza, insiste et souligne que l’avis béni de Son Éminence concernant la tenue d’un référendum avec la participation des « véritables habitants originels palestiniens » a toujours été pris en compte. Dans tous les documents internationaux enregistrés par la République islamique d’Iran, ce point a également été constamment mentionné. »
Il a souligné : « L’un des sujets importants dans les conventions internationales - et d’ailleurs l’un des slogans les plus répétés par les gouvernements occidentaux - est le « droit à l’autodétermination ». Mais ce droit n’est pas reconnu pour le peuple palestinien. Les peuples de Gaza, du Liban, de l’Irak, du Soudan, du Yémen et même de l’Iran, aux yeux de ces puissances, ne disposent pas d’un tel droit ; leur destinée est décidée par les grandes puissances. Aujourd’hui encore, à Gaza, le même système de « tutelle internationale » est en train de renaître. »
- le Dr Es’haqi a poursuivi : « La proposition de la République islamique d’Iran - c’est-à-dire la proposition de Son Éminence concernant la tenue d’un référendum - repose précisément sur ce droit à l’autodétermination ; un droit que ces mêmes puissances prétendent accepter en paroles. Selon ce plan, tous les Palestiniens résidents originels de la terre de Palestine, quelle que soit leur religion ou leur groupe, doivent s’asseoir et décider de l’avenir de leur propre État. Cette proposition a également été enregistrée par le ministère des Affaires étrangères auprès de l’ONU et elle est suivie dans les réunions générales, bilatérales et multilatérales. »
Le vice-président de l’Institut de la Révolution islamique a déclaré : « Maintenant que la question de Gaza est à nouveau posée et que le régime sioniste et ses soutiens sont arrivés à une impasse, il est clair que la solution dite « à deux États » n’est ni viable ni même réalisable ; car le régime lui-même et ses soutiens ne l’acceptent pas. Ceux qui en scandent le slogan ne souhaitent pas réellement la formation d’un véritable État ; un État qui n’aurait ni armée, ni police, ni économie, ni culture. En d’autres termes, ce qui est proposé n’a absolument pas la nature d’un véritable État. »
Il a fait remarquer : « Par conséquent, la seule voie restante est celle proposée par la République islamique d’Iran - qui commence seulement aujourd’hui à être entendue - et c’est précisément ce à quoi vous avez également fait référence. »
Il convient de rappeler que la Conférence internationale sur « les droits de la nation et les libertés légitimes dans la pensée de Son Éminence l’Ayatollah Khamenei » se tiendra le 03 décembre 2025 à Téhéran, organisée par l’Institut de recherche du Conseil des Gardiens.