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1. مفهوم، مبانی و چارچوبهای حقوق ملت و آزادیهای مشروع در نظام جمهوری اسلامی ایران و مقایسه آن با سایر نظامهای حقوقی
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2. سازکارها و الزامات تأمین و تضمین حقوق ملت و آزادیهای مشروع
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3. دستاوردهای نظام جمهوری اسلامی ایران در زمینه حقوق ملت و آزادیهای مشروع
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Dans la deuxième partie de cette conférence de presse, les journalistes internationaux présents à la salle ont posé leurs questions. En réponse à la question du journaliste de l’agence de presse Tasnim concernant les contradictions entre les discours et les comportements des gouvernements occidentaux, Mme la Dre Ghafari a déclaré : « La question que vous avez soulevée met en évidence une réalité importante ; nous sommes confrontés à de nombreuses contradictions dans ce domaine. Vous avez évoqué la question de la liberté d’expression et les restrictions étendues qui, dans le système juridique occidental, sont imposées à ce droit fondamental de l’être humain. Les événements des dernières années ont également présenté un visage plus nu de la situation des droits de l’homme en Occident ; les mêmes questions dont nous discutions pendant des années dans les milieux scientifiques et universitaires, mais dont les preuves concrètes apparaissent désormais clairement. »
Elle a ajouté : « Les exemples qui ont récemment émergé - en particulier concernant la manière de traiter la liberté d’expression - y compris le cas que vous avez mentionné à propos de Mme Esfandiari, montrent à quel point ces critères sont irréels. En pratique, il existe un grand écart entre les valeurs qui sont présentées comme des droits fondamentaux de l’homme et leurs exigences minimales. De nombreux cas, en tant que véritables « études de cas », ont montré que, malheureusement, le monde occidental, dans de nombreux domaines, ne respecte même pas les critères qu’il a lui-même théorisés pendant des années et enseignés dans les manuels et les milieux académiques. Cette réalité offre une image claire du caractère dual et mensonger de la liberté dans ces systèmes. »
En réponse à cette question, M. le Dr Es’haqi a également déclaré : « Les institutions internationales et les pratiques existantes sur la scène mondiale ont été conçues à l’origine pour établir un ordre international auquel tous les États devraient se conformer ; bien que, dans de nombreux cas, ces structures aient eu une nature unilatérale et aient été utilisées comme des outils. Cependant, ce qui est remarquable, c’est que même les documents et règles que ces mêmes pays ont adoptés et élaborés eux-mêmes, et présentés comme des normes universelles, ne sont pas respectés dans la pratique. »
Il a ajouté : « À titre d’exemple, comme vous l’avez mentionné, nous avons vu hier que le président des États-Unis a établi une « zone d’exclusion aérienne » pour le Venezuela. Autrefois, au moins, le Conseil de sécurité décidait de telles questions ; mais aujourd’hui, qu’est-ce que cela signifie qu’un pays impose seul une telle restriction ? Cela ne signifie-t-il pas que l’ONU a perdu toute efficacité ? Ne faut-il pas renoncer à ces structures ? »
Cet enseignant de l’Université de Téhéran a poursuivi : « Dans le domaine des droits de l’homme, la situation est la même. Les crimes qui ont été commis durant l’occupation de l’Irak - y compris ce qui s’est passé dans les prisons d’Abou Ghraib, de Guantánamo et ailleurs - constituaient une violation flagrante des mêmes documents que ces pays avaient eux-mêmes établis. Par conséquent, bien que nous disposions de nos propres fondements indépendants en matière de droits de l’homme et que nous ayons quelque chose à dire, cette exigence doit toujours être posée : ne voulez-vous même pas respecter les documents et les institutions que vous avez vous-mêmes créés et adoptés ?! »
Il convient de rappeler que la Conférence internationale sur « les droits de la nation et les libertés légitimes dans la pensée de Son Éminence l’Ayatollah Khamenei » se tiendra le 03 décembre 2025 à Téhéran, organisée par l’Institut de recherche du Conseil des Gardiens.