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1. El concepto, los fundamentos y los marcos de los derechos y las libertades legítimas del pueblo en el sistema de la República Islámica de Irán y su comparación con otros sistemas jurídicos
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2. Mecanismos y requisitos para asegurar y garantizar los derechos y las libertades legítimas del pueblo
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3. Los logros de la República Islámica de Irán en el ámbito de los derechos y las libertades legítimas del pueblo

Lors de la quarante et unième pré-session de la Conférence internationale sur les droits de la nation et les libertés légitimes dans la pensée de l’Ayatollah Khamenei (que Dieu prolonge sa vie bénie), le Dr Sayed Majid Emami, l’attaché culturel de la République islamique d’Iran à Rome, en soulignant l’importance de l’établissement d’un dialogue intellectuel entre le système juridique de la République islamique d’Iran et les centres de pensée occidentaux, en particulier en Italie, a déclaré : « Nous avons accordé peu d’attention à la traduction et à la présentation en persan des opinions des penseurs indépendants européens, alors que la pensée de la République islamique d’Iran, notamment en matière de liberté, a la capacité d’interagir avec des idées diverses mais non libérales. »
En se référant à des expériences de coopération fructueuses avec des penseurs italiens, il a ajouté : « la tenue de cette Conférence en Iran sur la liberté de la nation et les droits légitime est une occasion exceptionnelle d’ouvrir une voie d’interaction entre les penseurs européens indépendants et l’univers intellectuel de la République islamique, car cette dernière a établi des concepts fondamentaux tels que la liberté avec une approche différente des écoles occidentales dominantes, et a fondé sa Constitution sur cette base. »
Affirmant que la liberté est l’un des éléments les plus comparables entre les systèmes politiques et juridiques du monde, le Dr Emami a souligné : « L’essence de l’ordre politique moderne, du point de vue des penseurs libéraux, se résume à deux concepts : rationalité et liberté. Mais dans la République islamique d’Iran, le chapitre 3 de la Constitution, consacré aux droits de la nation, contient une partie centrale des principes liés à la liberté ; ainsi, 7 des 43 principes de ce chapitre sont consacrés aux libertés politiques, sociales et civiles. »
L’attaché culturel de la République islamique d’Iran à Rome, notant que l’institutionnalisation des principes et fondements juridiques requiert du temps et des bases locales, a déclaré : « Après la victoire de la Révolution islamique, non seulement nous avons mis fin à la monarchie et à la structure du despotisme en Iran, mais nous avons aussi tenté de fonder un nouvel ordre basé sur l’indépendance et la liberté. Ce chemin est long, et imiter d’autres pays ne nous mènera pas à notre objectif. »
En insistant sur les capacités non encore réalisées de la Constitution de la République islamique d’Iran pour garantir les libertés citoyennes, il a déclaré : « On ne peut nier que certains principes de la Constitution ne sont pas encore pleinement mis en œuvre. Dans des domaines comme la liberté d’expression, la liberté des médias et le développement d’une critique équitable, nous devons faire des progrès significatifs et identifier les faiblesses. Mais les différences actuelles, même par rapport à certains systèmes occidentaux, montrent des avancées. »
Le Dr Emami a poursuivi : « Il se peut que certains considèrent que le sentiment de liberté en Iran est inférieur à celui des pays occidentaux, mais cela est dû au degré d’institutionnalisation de la liberté dans ces pays. En Occident, la liberté est plus institutionnalisée à un niveau micro, tandis que le niveau macro fait l’objet de critiques sérieuses, même de la part de leurs propres penseurs. Cela a conduit à une perception accrue des différences lors de comparaisons superficielles. »
L’attaché culturel de la République islamique d’Iran à Rome a conclu en affirmant : « Les services culturels de la République islamique d’Iran n’ont pas pour mission d’être des porte-voix unilatéraux ; elles doivent plutôt faciliter le dialogue et la connaissance mutuelle entre le système intellectuel iranien et les autres univers de pensée. C’est ce que le Coran appelle ta’arof (la reconnaissance mutuelle). »
À la fin, Emami a remercié les organisateurs de la Conférence, a demandé au centre de recherche du Conseil des gardiens et aux autres institutions partenaires d’aller au-delà des controverses politiques et des illusions dans l’identification et la réalisation des capacités de la Constitution dans le domaine des droits de la nation et des libertés légitimes, et a ajouté : « J’espère que cette Conférence, organisé grâce aux efforts d’institutions fiables et efficaces, deviendra une étape importante pour renforcer la compréhension mondiale des potentialités juridiques de la République islamique d’Iran dans le domaine de la liberté. »
Cette session préparatoire a été organisée par le centre de recherche du Conseil des gardiens en collaboration avec le Service culturel de la République islamique d’Iran à Rome. La session de clôture de la Conférence internationale sur les droits de la nation et les libertés légitimes dans la pensée de l’Ayatollah Khamenei (que Dieu prolonge sa vie bénie)» se tiendra à Téhéran au mois de décembre 2025.